nom : wagner prénom(s) : kylie léa âge : 22 ans origines : américaine et française métier/études : journaliste de mode famille : deux frères statut social : célibataire avatar : gabriella wilde

   
   ma peur : j'ai peur de la solitude, de l'abandon. plus petit mon frère a été kidnappé. j'ai toujours été très proche de lui et je ne pouvais pas supporter le fait qu'il ne soit plus là. et puis il y a avait toujours cette incertitude de le voir vivant ou pas. les jours passaient et je commençais à déprimer, m'engouffrer dans une spirale infernale qu'était l'alcool et la drogue. j'ai vraiment cru que j'allais perdre pied. ne plus le voir c'était une réelle souffrance. mes parents étaient morts d'inquiétude, moi je devenais folle. je devais prendre des médicaments pour me calmer et pour dormir. les rêves sur mon frère s'enchainaient. la nuit j'imaginais tout les scénarios possibles. ou il était, ce qu'on lui faisait, comment il le vivait et la personne qui le retenait.  un résumé de mon histoire : dix ans que le kidnappage de mon frère a eu lieu. entre temps on a déménagé peut-être deux fois. notre destination finale ? l'Australie. mais cette fois mes parents sont beaucoup plus prudents. j'ai finis le lycée, emportant une très bonne note à mon diplôme. bien sur je n'ai toujours pas d'amis. après l'histoire de Merlin, j'ai passé tout mon temps libre à réviser ou être avec ma famille. profiter d'eux était le plus important à mes yeux. on ne sait jamais quand ils peuvent partir. mes parents ont engagé des gardes du corps. juste au cas ou. et ça n'arrange pas ma popularité. après quatre ans d'étude en journalisme, j'ai arrivé à avoir un poste en tant que journaliste de mode. certes c'est pas vraiment ce que je veux faire, mais c'est déjà pas mal. ma mère pense que j'ai un bon goût en matière de mode et que je pourrais faire fureur. d'ailleurs c'est elle qui a réussi à me faire avoir ce job. en même temps elle connait presque tout le monde. c'était pas très compliqué. moi ce que je rêve, c'est d'être journaliste, voyager dans le monde entier et non parler de jupes ou de chaussures. m'enfin c'est un bon début. ma peur de la solitude est toujours là. présente comme jamais, mais je prends des médicaments et je reste près de ma famille. puis j'ai mon garde du corps. même s'il a en gros l'interdiction de me parler, c'est toujours une présence de plus.

   
   
   
   
   

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