All this time you never knew what it was like to be hated
Alister est né en plein Automne, saison jugée mélancolique par certain, tout comme le jeune garçon.
Le brun est né et à vécu dans une petite province périphérique de Brisbane, Brendale, les meilleurs comme les pires moments de sa vie.
Depuis tout petit, Alister n'a jamais été très proche de ses parents, il les années c'était sur, mais ne pas les voir car ils voyageaient beaucoup ne le gênait pas. En effet, embauché tout deux dans une multinationale, les Charley étaient souvent amenés à laisser leur garçon à sa grand-mère dont il été très proche. Sa "Granny" lui était très chère et, après un incident arrivé à ses neufs ans, il n'acceptait plus qu'elle seule la touche...
Vers ses sept ans, Alister était déjà un enfant très éveillé et n'aimait pas l'esprit étriqué et peut cultivé de ses camarades. Alister se faisait conté des récits comme ceux de Jules Vernes et autres auteurs dans le genre par sa Granny, et adorait littéralement les bouquins par lesquels ils pouvaient s'évader, créer son univers.
Ce n'était pas parce qu'Alister était un mordu de livre qu'il était ennuyeux, bien au contraire, le petit garçon était un vrai clown, sans cesse en train de faire des blagues, des spectacles de magies, ou des spectacles de tout et n'importe quoi d'ailleurs, tant que cela amusé la galerie. Et, dans ce domaine, il excellait vraiment.
Neuf ans, l'âge fatal... A cet âge là, le jeune brun traînait exclusivement avec des gens plus âgés que lui et avait déjà complètement basculé vers le côté obscure de la force. Autrement dit, Alister était déjà consciemment plus attiré par les garçons que par les filles. Pour certains c'est une erreur, pour d'autre chacun fait ce qu'il veut. Fortement attaché à un de ses amis, il n'était pas vraiment ensemble mais n'était pas que de simple amis. Esprits perveres abstenez-vous, cela n'allait jamais plus loin qu'un étreinte réconfortante ou un petit baiser, parfois sur les lèvres, pudiquement. Pourtant, fatalement, un jour arriva où cet 'ami' de quelques quatre années sont aînés fut mal intentionné. Une balade en forêt sous une chute de neige romantique, des frénésie... Alister revint chez lui tremblant, boitant limite, traumatisé à vie. Il ne voulait plus rien avalé, il ne faisait plus de spectacles de théâtre improvisés, il ne resplendissait plus de cette vivacité tenace qu'on les enfants de son âge. Depuis cela, Alister panique horriblement à chaque fois que quelqu'un à le malheur de le touché, ne serai-ce qu'effleuré sa mère lui provoque des spasmes violents et des hurlements les plus terribles que même quelques sédatifs prescrit par son médecin ne calment pas. L'enfer commence, et la seule personne à pouvoir le calmé est sa Granny adorée.
Août de ses 13 ans, c'est la mort dans l'âme que le jeune ado se présente au printemps. Il vient tragiquement de perdre la seule personne dont il supportait le touché, sa mamie. Pourtant, se fin d'Août lui amena à côté de chez lui un petit rayon de soleil comme on en comptait peu en Australie. En effet ,c'est à ce moment là que la jeune Tayley emménage non pas à Brendale même puisqu'elle y habite depuis environ dix années, mais bien dans la maison toute voisine de celle d'Alister. De fil en aiguille, les deux adolescent se lièrent d'un forte amitié et, même si Alister faisait toujours d'horrible cauchemars sur sa phobie, il arrivé à être assis à côté de la blondinette sans paniqué après avoir fournit un effort considérable.
Quinze ans. La peur, la solitude quasi-constante, les moqueries aussi quasi-constantes des élèves envers "ce fou furieux d'emo" ou tout un tas de saloperies dans le genre. Malgré tout, il réussissait à se faire invité dans des fêtes, bien que plus douteuses les unes que les autres, et arriva
enfin à trouvé un échappatoire à son calvaire quotidien: la bouteille, l'alcool, le precious juice. Presque tous les week ends, le brun rentrait complètement cramé de ces soirées, et cela l'arrangeait plutôt bien que ses parents ne soient pas là. Après tout, présents ou non, il était certain qu'ils ne s'interessaient en rien à leur weird kid.
Entre les années de ses seize à ses dix huit ans, c'est la décadence. La buvette, la buvette, la buvette. C'était à la limite de l'alcoolisme. Disons à la limite, car, au départ, Alister n'aimait pas vraiment se mettre minable. C'est douloureux, ça donne une mauvaise image de soi. Mais après tout, il pouvait faire ce qu'il voulait sans avoir peur et redevenir lui même, avec plus de vomis. En effet, la bouteille avait pour effet de désinhibé fortement Alister, le laissant redevenir drôle, sociable, bourré certes mais sacré bon dragueur. Dieu sait combien de fois le jeune homme aurait pu attraper le SIDA ou autre maladie dégueulassement transmissible.
A ses vingt ans, durant ses rares heures de sobriété Alister rêvé de FAC, d'université de musique, d'art, de lettres, de devenir prof ou rock star. Ayant du repasser son bac, il fut tant bien que mal ( et non sans l'aide de quelques pistons de ses parents ) entrer aux beaux arts de Brisbane. Mais ses parents ne supportait plus de retrouver leur fils dans l'état dans lequel il se mettait, alors se fut l'enfilade de cures de désintoxes. Mais la blessure était profonde, et la seule façon de panser ses plaies était l'
alcool.
Un peu plus sobre depuis, Alister ne vit plus qu'avec la boule au ventre, l'angoisse permanente en prédiction d'un éventuel contact potentiel avec une x personne. Et c'est vous considéré comme chanceux de croisé Alister Moriarty Charley traîné sobre, mais se rongeant les ongles jusqu'au sang.